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Explorez une station spatiale et éliminez les aliens pour survivre

Explorez une station spatiale et éliminez les aliens pour survivre

Vote : (2 votes)

Licence: Payant

Éditeur: SEGA

Version: 1.0

Fonctionne sous: Windows

Également disponible pour Android

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(2 votes)

Payant

Éditeur

Version

SEGA

1.0

Fonctionne sous:

Également disponible pour

Windows

Android

Les plus

  • Atmosphère fidèle au film de Ridley Scott
  • Fan service
  • Mélange d'infiltration et d'action

Les moins

  • Quelques heures de remplissage
  • Sauvegardes mal placées

Sorti le 7 octobre 2014, Alien : Isolation est le nouveau jeu vidéo tiré de la saga Alien, démarrée en 1979 par le réalisateur Ridley Scott. Pour ce nouvel opus, l’éditeur Sega a, cette fois-ci, fait appel aux développeurs de The Creative Assembly, studio britannique auteur de la fameuse série Total War. Contrairement au précédent jeu édité par Sega, Alien : Colonial Marines, plus focalisé action, Alien : Isolation est un survival horror qui se joue en FPS avec comme moteur du gameplay l’infiltration de la station orbitale Sevastopol. Les créateurs du jeu ont choisi d’ancrer leur scénario en 2137, quinze ans après Alien, le huitième passager et quarante-deux ans avant Alien, le retour. Le personnage principal de l’action est Amanda Ripley, fille d’Ellen Ripley, qui a disparu dans l’accident de son vaisseau le Nostromo. Le but du jeu : infiltrer la station Sevastopol pour trouver des données sur l’accident et peut-être localiser Ellen.

L’atmosphère d’Alien : isolation est clairement inspirée du film de Ridley Scott avec de nombreux clins d’oeil destinés aux fans (décors rétro-futuristes, bande-son,…) Le jeu compte dix-neuf chapitres, soit près de vingt heures de jeu passées dans la même ambiance tendue que celle du premier film. Le ressort du jeu : la peur de l’inconnu et une quête qui ressemble à une traque mortelle. Sevastopol est habitée d’humains survivants, d’androïdes commandés par une Intelligence Artificielle, et bien sûr d’un Alien xénomorphe, impossible à tuer. Pour avancer à la recherche des données, Amanda doit sans cesse se cacher, être attentive aux bruits et éviter les multiples ennemis qui peuvent la tuer. Pour se défendre et faire diversion, elle peut utiliser des objets tels que des émetteurs de sons, fumigènes, grenades aveuglantes, bombes IEM,… Mais pour utiliser ces objets, Amanda doit d’abord les créer à partir de matériaux qu’elle récupère dans la station. Chacune de ses actions peut la faire repérer et l’Alien se base sur les sons, l’odeur et la vue, pour la trouver.

Quelques points faibles du jeu : des points de sauvegarde mal placés, obligeant à prendre des risques. Avec comme conséquence possible un game over, qui oblige parfois à revenir en arrière et à revivre des séquences entières du jeu. Sur les vingt heures de jeu, quelques heures de remplissage et peut-être un peu trop de fan service. Mais les moments d’attente sont aussi là pour soutenir la tension et s’inscrivent dans une stratégie générale de survie. Attendre, comme marcher au lieu de courir, se cacher dès que possible et faire diversion dans un seul but : éviter la mort et poursuivre la quête des données.

Les plus

  • Atmosphère fidèle au film de Ridley Scott
  • Fan service
  • Mélange d'infiltration et d'action

Les moins

  • Quelques heures de remplissage
  • Sauvegardes mal placées